Merci Paris Match et Grazia !

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« Tous les messages que je reçois aujourd’hui donnent du sens à ce que j’ai traversé. C’est une étape importante de ma vie dont je me souviendrai sur mon lit de mort. Moi qui avais l’impression d’être exceptionnelle, je réalise qu’avant ça, je n’avais jamais rien fait d’important… » L’interview en entier par ici: Paris Match

Et trois pages dans le Grazia du 21 mars 2014 :

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10 commentaires

  1. Non d’un chien Bravan la méchanceté est donc ton fait.

    Ce que tu écris est d’une bêtise sans nom.

    Si tu ne trouves pas d’intérêt à ce blog trouve t’en un autre.
    Pourquoi déverser ici un fiel inutile.

  2. Désolée Juliette pour cet élan de rage mais lire de telles inepties me révolte. Je salue ton courage et ta détermination, et je ne comprend pas pourquoi certaines personnes ressentent le besoin de critiquer gratuitement.
    ton histoire est unique même si elle n’est pas exceptionnelle et c’est pour cette raison qu’utiliser la presse pour la diffuser est une des meilleures choses à faire je pense.
    moi aussi j’ai découvert ton blog via Konbini, lu d’une traite avec un vif intérêt sans pourtant faire partie des “free-party people” comme le dit RF…
    la banalisation de cette drogue, superbe décadence, est un fléau qui détruit l’individu mais crée aussi toute une future génération amorphe.
    si chacun livre un combat comme le tien, peut être que les prises de conscience seront plus efficaces.

  3. Branvan c’est toi qui nous afflige, si t’as rien de mieux à faire que de disperser ton aigreur de cette manière, c’est que ta vie doit être bien creuse et solitaire. continue donc a te défoncer parce que de toutes façons tu ne seras jamais cool quoi que tu fasses.
    Et en matière de mouton, tu fais certainement partie de ceux qui sont laissés de côté parce que leur laine est trop sale, comme leur esprit et leur coeur.
    Quant à Remi tu sais pas où t’as mal en fait, t’as envie de critiquer et de balancer des phrases avec des mots compliqués pour étaler ton art de la prose mais tu finis par t’excuser d’être si con.

    Mais finalement, heureusement qu’il y a des gens comme vous, cela permet de soupirer un grand coup et de se dire….qu’on est bien loin des parasites!

  4. Certains commentaires sont d’une cruauté terrible. Je suis très admirative de ta démarche que j’ai découverte en lisant la presde. J’aurais deux questions : pourrais tu nous dire quels sont les signes qu’un proche tombe dans la dépendance et quelle attitude adopter pour l’aider? Merci encore.

  5. Mein Gott… C’est affligeant. Le ton est insupportable.
    Tu dis avoir été condescendante sous coke mais tu l’es encore plus aujourd’hui.
    « Quand je vois ces gamines… », rappelle moi, tu as quel âge ?
    Tu n’es qu’un mouton parmi d’autres, ma grande, on prend de la coke quand c’est cool, on arrête quand c’est cool d’arrêter.
    Je te conseille de t’y remettre, ça t’évitera de sombrer dans la vacuité. Et ne pond surtout pas un bouquin, je t’en prie, on a déjà Beigbeder, Weisberger et consorts.

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